Il est généralement reconnu que nos enquêtes sur le « laboratoire grenoblois » du temps de Michel Destot, maire CEA-PS (1995-2014), ont contribué à l’échec de la vieille gauche aux élections municipales de 2014 et à l’émergence d’Eric Piolle et des Verts : solution de rechange pour la représentation de la technocratie à l’échelon local. Le Vert est le nouveau Rose, comme le prouve la politique du nouveau maire technologiste (Hewlett-Packard- EELV). En bref, l’édification d’une smart city à l’échelle de la cuvette grenopolitaine, par la numérisation et la connexion des infrastructures et des services. Le même maire technologiste qui encourage les industriels et les technologues de la smart city lors de rencontres professionnelles et dans la presse spécialisée, tient en même temps un langage technocritique contre « l’hypernumérisation » et la 5G sur les réseaux sociaux et dans les médias grand public. Cela s’appelle un double langage. Quant aux actes, ils ne mentent pas, eux.
Vous lirez ci-dessous ce que Piolle déclare sur sa page Facebook le 6 juillet 2020, suivi de nos commentaires.
(Pour lire le texte intégral, ouvrir le document ci-dessous.)
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