Arthur Morel nous a fait suivre sa « deuxième lettre de la Capitale verte » envoyée à son ami Jonathan, au Québec (lire la première). On découvre la cuvette à travers le regard de ce néo-Grenoblois – ou plutôt, on découvre son regard, peu flatteur. Ce n’est pas une surprise, « c’est Grenoble pour les nuls » dit notre copain Charles, celui qui s’est enfui avec femme et enfants au bout du Finistère. Arthur proteste ; ses amis ont « appris des choses sur Grenoble » dans sa première lettre. Enfin, on avance. Non seulement ce « néo-Grenoblois » avait déjà passé deux ans à Grenoble, lors de ses études de communication, mais sa femme y a passé treize ans. Et maintenant, bien sûr, elle finit sa thèse de géologie avec l’université de Montréal. Reste leur petite fille, mais pour combien de temps ? Va-t-elle vraiment grandir ici ? Est-ce vraiment une ville où élever un enfant ? Arthur continue de s’interroger, et nous avec lui.
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