"Mais même si de tels paradoxes ont beaucoup contribué à l’emballement, cet automne il est devenu impossible de ne pas s’interroger sur ce qu’il y a de volontaire dans cet emballement, ce qu’il y a d’intéressement, de manipulation et de falsification dans le discours sanitaire. La psychose générale qui emporte les bienveillances dans une direction absurde ne s’est pas développée toute seule : bien qu’elle soit favorisée par les faiblesses de notre culture, elle est avant tout produite et entretenue par une propagande acharnée. L’instrumentalisation politique et économique de l’épidémie est bien plus significative que les contraintes juridiques, la panique sincère et l’incompétence des gestionnaires. C’est tellement grave, tellement énorme, que beaucoup d’entre nous refusent de le reconnaître et se replient dans le déni."
Nous avons reçu d’un "humaniste et ses microbes" ces considérations sur l’usage que font les gouvernements de la peur sanitaire pour enfermer sans retour leurs populations dans leurs filets de contention numériques.
Encore des "réflexions", dira-t-on. Et non une enquête. Mais celles-ci, énoncées de manière sobre et posée, rassemblent nombre d’idées que nos lecteurs - écologistes radicaux, anti-industriels, luddites, naturiens, etc. - formulent de façon de plus en plus nette.
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