Avant 2006 et l’inauguration de Minatec, scientifiques, journalistes et militants nous accusaient de science-fiction et de paranoïa ; vous pensez bien que s’il y avait eu le moindre risque d’applications militaires des nanotechnologies, ils l’auraient su et ils l’auraient dit. D’ailleurs, l’existence même des nanotechnologies restait un point en débat.
Pourtant, Antonin Reigneaud, dans "Minatec et l’armée : le rapport qui tue" (ici) en avait déjà dit assez long pour ôter tout déni aux plus fortes têtes.
Aujourd’hui, la nano-guerre se discute benoitement, effroyablement, dans des "Café défense nanos", entre étudiants et technarques du ministère de l’Economie.
Pour un compte-rendu précis et complet du dernier "Café défense nanos" de Lille, lire l’article de Hors-Sol (à télécharger ci-dessous).